Il ne faut pas s'inquiéter des discussions qui s'étirent entre les banques et les acquéreurs de BCE (T.BCE), a soutenu mercredi l'ancien patron du Régime de retraite des enseignants de l'Ontario (Teachers), Claude Lamoureux.

Il ne faut pas s'inquiéter des discussions qui s'étirent entre les banques et les acquéreurs de BCE [[|ticker sym='T.BCE'|]], a soutenu mercredi l'ancien patron du Régime de retraite des enseignants de l'Ontario (Teachers), Claude Lamoureux.

De tels pourparlers sont normaux dans le cadre d'une transaction de rachat par endettement, a-t-il souligné à l'issue d'une présentation portant sur les caisses de retraite, à Montréal.

Il n'est pas exceptionnel que les discussions prennent plus de temps que prévu, a-t-il ajouté.

Les banques qui doivent prêter les 34 G$ nécessaires à la transaction - Citigroup, la Deutsche Bank, la Royal Bank of Scotland et la Banque Toronto-Dominion - ont pris des engagements écrits et M. Lamoureux s'attend à ce qu'elles les respectent.

À l'instar de BCE et du groupe dirigé par Teachers, Claude Lamoureux n'envisage cependant pas un dénouement rapide: la transaction sera conclue d'ici la fin de l'année, s'est-il limité à dire.

Selon lui, il vaut mieux ne pas expédier les négociations dans un dossier aussi complexe et délicat.