Après quelque semaines difficiles en raison des incidents avec ses avions Q400, Bombardier (T.BBD.B) connaît une embellie.

Après quelque semaines difficiles en raison des incidents avec ses avions Q400, Bombardier [[|ticker sym='T.BBD.B'|]] connaît une embellie.

Jeudi, les agences de notation de crédit DBRS et Fitch Ratings ont revu à la hausse les perspectives à long terme de Bombardier.

L'agence DBRS, de Toronto, a fait passer les perspectives de l'entreprise montréalaise de «négatives» à «stables». De son côté, la britanno-américaine Fitch a relevé les perspectives de «stables» à «positives».

Selon les agences, Bombardier a amélioré ses marges bénéficiaires, la croissance de ses ventes et a augmenté les flux de trésorerie.

À la Bourse de Toronto, le titre de l'avionneur a finalement terminé sa journée à 5,59$, en légère baisse d'un cent.

Hier, la Commission d'enquête danoise sur les accidents d'aviation civile n'a pas voulu imputer à l'avionneur canadien l'atterrissage forcé du Dash 8, samedi, à Copenhague.

Les enquêteurs ont plutôt désigné un joint circulaire comme cause de l'incident.

Le groupe a également annoncé que la Chine a commandé à sa co-entreprise chinoise, Bombardier Sifang Power (BSP) Transportation, 40 trains à grande vitesse pour un montant total de 1,5G$ US.

À la suite de ces bonnes annonces, mercredi, le titre de Bombardier a repris sa vitesse de croisière, clôturant finalement en hausse de 33 cents, à 5,60$.