Un autre Q400 de la Scandinavian Airlines (SAS) a connu des difficultés, mercredi.

Un autre Q400 de la Scandinavian Airlines (SAS) a connu des difficultés, mercredi.

Un vol reliant Copenhague, au Danemark, à Gdansk, en Pologne, a fait demi-tour après qu'un indicateur se soit allumé au tableau de bord de l'appareil, signalant un problème de la porte du train d'atterrissage avant.

L'avion, qui transportait 47 passagers, s'est finalement posé sans encombre à Copenhague. Un porte-parole de SAS, Bertil Ternert, a indiqué qu'«aucun problème» n'avait été décelé sur le train d'atterrissage.

Marc Duchesne, porte-parole de Bombardier [[|ticker sym='T.BBD.B'|]] , a précisé que le pilote avait choisi de retourner à Copenhague parce qu'un centre d'entretien de SAS s'y trouve.

Deux Q400 de SAS ont effectué des atterrissages ratés le mois dernier après que leurs trains du côté droit aient cédé. Selon un rapport d'enquête préliminaire, la corrosion serait en cause. Il ne s'agirait pas d'un problème de maintenance, mais plutôt de fabrication. Les trains d'atterrissage des Q400 proviennent de l'américaine Goodrich.

Il y a un peu plus de deux semaines, un Q400 de Augsburg Airways effectuant une liaison pour Lufthansa a atterri sur le nez à Munich en raison d'une défaillance du train avant.

Pour l'instant, Bombardier n'entend pas ordonner la tenue d'inspections spéciales à la suite de l'incident de mercredi.