Que ce soit en raison d'une alerte à la bombe ou de menaces proférées à l'endroit de Vincent Lacroix, les mesures de sécurité entourant son procès pénal ont été renforcées vendredi après-midi.

Que ce soit en raison d'une alerte à la bombe ou de menaces proférées à l'endroit de Vincent Lacroix, les mesures de sécurité entourant son procès pénal ont été renforcées vendredi après-midi.

L'ancien PDG de Norbourg a été escorté par des constables spéciaux du Palais de justice, notamment à sa sortie après l'audience.

Les visiteurs autres que les avocats et membres des médias ont dû se soumettre à une fouille pour entrer à la salle d'audience 5.12.

Par contre, ni le juge Claude Leblond, ni les responsables de la sécurité ou M. Lacroix lui-même n'ont voulu préciser la raison pour laquelle un besoin de sécurité accru se faisait sentir.

Le juge a précisé en fin d'après-midi qu'il allait décider lundi s'il fallait imposer les fouilles comme mesure permanente au procès de M. Lacroix.

Pour leur part, les constables s'occupant de la sécurité n'ont absolument rien commenté, malgré les demandes répétées des médias.