Le malheur des employés d'Alcan (T.AL) à Kitimat, en Colombie-Britannique, ne fera pas le bonheur des travailleurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Le malheur des employés d'Alcan [[|ticker sym='T.AL'|]] à Kitimat, en Colombie-Britannique, ne fera pas le bonheur des travailleurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Une décision défavorable rendue il y a une semaine par la société des services publics de la Colombie-Britannique force Alcan à remettre en question un investissement de deux milliards de dollars à Kitimat.

Alcan n'a toutefois pas l'intention d'utiliser les sommes qui pourraient ainsi être libérées pour accélérer son projet d'expansion de l'aluminerie d'Alma.

«Alma, c'est définitivement un très bon projet, mais ce qui nous limite, c'est la disponibilité de l'énergie», affirme le nouveau président et chef de la direction du groupe Alcan Métal primaire, Michel Jacques, au cours d'une entrevue accordé à La Presse Affaires dans son bureau du siège social d'Alcan, à Montréal.

Plus de détails dans l'édition de samedi de La Presse.