Après un premier délai fixé au 22 octobre et un second au 26 octobre pour s'entendre, la direction de l'usine Kruger de Trois-Rivières et le Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier (FTQ) poursuivent aujourd'hui (mardi) les discussions pour tenter de trouver la meilleure façon de passer au travers de la crise forestière.

Après un premier délai fixé au 22 octobre et un second au 26 octobre pour s'entendre, la direction de l'usine Kruger de Trois-Rivières et le Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier (FTQ) poursuivent aujourd'hui (mardi) les discussions pour tenter de trouver la meilleure façon de passer au travers de la crise forestière.

En dépit de la détérioration de la situation, les demandes patronales, qui consistaient à réclamer une baisse salariale de 10 % et une centaine de mises à pied, ne seraient pas plus exigeantes qu'au départ.

Et jusqu'à présent, les installations du boulevard Gene-H.-Kruger doivent toujours fermer temporairement et partiellement du 2 au 11 novembre.

Avec 60 % des syndiqués qui vont rester au travail, leurs collègues de Bromptonville grincent des dents alors qu'ils auront à vivre un arrêt plus long et un plus grand nombre de mises à pied temporaires.