Les Waterlois devront user d'ingéniosité pour se rafraîchir cet été. Nécessitant des réparations de 561 000 $, la piscine municipale sera fermée pour la belle saison tandis que des fleurs d'eau, signe annonciateur des cyanobactéries, ont été aperçues à la surface du lac, la semaine dernière, par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.

Les Waterlois devront user d'ingéniosité pour se rafraîchir cet été. Nécessitant des réparations de 561 000 $, la piscine municipale sera fermée pour la belle saison tandis que des fleurs d'eau, signe annonciateur des cyanobactéries, ont été aperçues à la surface du lac, la semaine dernière, par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.

La baignade n'est toutefois pas interdite à la plage, mais le maire de Waterloo, Pascal Russell, a demandé aux résidants d'être vigilants, mardi, lors de la séance publique du conseil.

«Si l'eau est de couleur verdâtre, on dit aux gens de ne pas y aller. Il faut être méfiant», a-t-il indiqué.

Pascal Russell a aussi rappelé que la Ville «est en train de trouver une solution pour diminuer l'apport de phosphore du bassin versant». Le phosphore est le principal responsable de la prolifération des cyanobactéries dans le lac.

«Le lac est en phase terminale, a-t-il dit. C'est à nous tous de nous mobiliser et de trouver des actions concrètes.»

Tous les détails dans La Voix de l'Est de jeudi.