Bien loin de l'image de «cruche» de l'émission de télé-réalité «The Simple Life», Paris Hilton se révèle être en fait une redoutable femme d'affaires, selon le magazine Vogue Paris de novembre, qui lui consacre sa une et la dévoile sur papier glacé.

Bien loin de l'image de «cruche» de l'émission de télé-réalité «The Simple Life», Paris Hilton se révèle être en fait une redoutable femme d'affaires, selon le magazine Vogue Paris de novembre, qui lui consacre sa une et la dévoile sur papier glacé.

«Mon arrière-grand-père était coursier dans un hôtel et il a construit un empire», se souvient Paris Hilton.

«Ce n'était pas dans mon tempérament de rester à ne rien faire sous prétexte que mon arrière-grand-père avait tout fait», tire-t-elle en guise de leçon.

«J'aime les arts, faire de la musique, divertir, je suis faite pour ça», assure l'héritière pour justifier l'empire de marchandisage qu'elle préside d'une main de fer, même si pour se détendre, elle «adore chanter Bette Davies Eyes au karaoké».

«J'ai 100% de contrôle sur tout, je suis productrice exécutive de ma série télé. Beansock, la compagnie que j'ai construite sur mon nom, développe et signe des licences pour des sacs à main, des lunettes, des sèche-cheveux, le premier champagne en canette, des chaussures, de la lingerie, des montres... Qu'est-ce que j'ai d'autre?», s'interroge-t-elle, soudain égarée dans cet inventaire à la Prévert.

Pour diriger son empire, Paris Hilton mène deux réunions par mois avec ses équipes.

«J'aime être au courant. Je vérifie tout», insiste-t-elle. Et d'enfoncer le clou: «Je suis dure, ils doivent tous m'écouter car je ne les laisse pas prendre les décisions à ma place».

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