Plus de 45 entreprise d'une trentaine de secteurs différents se donneront la peine d'être aux Galeries de la Capitale, les 11 et 12 mai, pour faire la promotion du beau monde des sciences et des technologies.

Plus de 45 entreprise d'une trentaine de secteurs différents se donneront la peine d'être aux Galeries de la Capitale, les 11 et 12 mai, pour faire la promotion du beau monde des sciences et des technologies.

Or pour sa deuxième présentation, l'événement «Imagine» travaille, cette année, en partenariat avec les organisateurs du «24 heures de sciences». Résultat: plus de 70 activités se dérouleront au cours de la fin de semaine.

En plus des exposants aux Galeries de la Capitale, des démonstrations de toutes sortes auront lieu à l'Aquarium de Québec, à la bibliothèque Gabrielle-Roy, dans les coulisses du cinéma IMAX, dans les cégeps, etc. Les horaires sont disponbiles à www.scien ce24heures.com et www.imagi neinnovation.qc.ca.

Initié par le Parc technologique, «Imagine» privilégie encore une fois le face-à-face entre les visiteurs et les scientifiques qui oeuvrent dans les secteurs des biotechs et centres de recherche. C'est une approche directe où les gens peuvent poser des questions.

De son côté, le «24 heures de sciences», davantage associé à un festival populaire, axera ses démonstrations sur la créativité. Leur objectif est de faire participer jeunes et moins jeunes à diverses expériences, de réveiller la fibre scientifique chez les gens.

Pour ce volet, la Boîte à science s'est investi à 100 %. Fidèle à son approche, l'organisme a fait travailler les plus petits. Ainsi grâce à l'équipe de Manon Théberge, le 24 heures de sciences fera rayonner les talents d'innovation de 100 enfants du primaire, pendant que les visiteurs d'Imagine réaliseront des expériences en lien avec celles de la Boîte à science.

Porte-parole de l'événement Imagine, Marie-Claude de Billy, présidente de Créations Foam, a rappelé, mardi que le plus gros défi des parents consistait à accompagner leurs ados dans le choix d'une carrière. Un choix, dit-elle, qui implique les sciences et les technos parce que c'est ce qui nous permettra de concurrencer la Chine mais aussi l'Inde.

Même constat pour Daniel Rousse, vice-recteur de l'Université du Québec, campus de Lévis qui estime important de travailler à briser la perception des jeunes qui voient les sciences comme trop sérieuses et rigides donc plates !

Pour le porte-parole des 24 heures des sciences, dans une société comme la nôtre, pour faire une découverte scientifique, ça prend de la technique, dit-il, mais ça prend surtout beaucoup d'intuition, d'imagination et de créativité. Et c'est ce qu'il faut générer si on veut demeurer compétitif, conclut-il.