Tous les jeudis, un professionnel se dévoile dans notre page style de vie. Cette semaine, le président d'Enzyme Communication Marketing répond à nos questions.

Un magazine que vous lisez par plaisir?

EnRoute d'Air Canada pour la combinaison voyage-bouffe. C'est l'évasion, vraiment. Il me donne des ailes... pour faire un mauvais jeu de mots. Je le vole systématiquement dans l'avion et je le regarde quand je prends une pause.

Êtes-vous veston ou cardigan, cravate ou col ouvert?

Col en V. D'abord parce que je suis frileux. C'est donc ma petite laine. Et ça me permet d'être à la fois relax et élégant. Les vestons m'encombrent un peu.

Où aimez-vous vous évader?

Dans l'immense parc en pente King George de Westmount. C'est un des rares parcs où j'arrête ma voiture pour aller m'allonger dans l'herbe.

Qu'est-ce qui décore votre bureau?

C'est minimaliste. Il y a des meubles en teck et une plante Ficus qui se prénomme Succès... et à qui je parle!

Où aimez-vous décompresser?

Sur un court de tennis. Je joue chaque semaine avec un ami-entraîneur. J'aime l'odeur de la balle neuve!

Un endroit intéressant pour un voyage d'affaires?

Paris, car c'est la destination où je joins l'utile à l'agréable. Je vais toujours m'asseoir dans le parc du jardin du Louvre pour les petites courses de voile. Il y a aussi Vancouver pour l'ambiance. On dirait qu'à chaque coin de rue, les gens nous donnent une leçon sur la façon de relaxer. Je m'y sens en thérapie!

Votre repas du midi?

Un flétan de chez Graziella (116, rue McGill, Montréal), un restaurant qui propose une cuisine extraordinaire. C'est léger et c'est bon, point.

Un bon cadeau à offrir à un collègue de travail ou une connaissance?

Un bon canif suisse. Tout ce qu'il regroupe est utile. De la fourchette à l'ouvre-bouteille. C'est ce dont l'homme moderne a besoin!

Que portez-vous à votre poignet?

Plus rien! Comme j'ai perdu toutes mes montres, j'ai fini par perdre le goût d'en porter. Je n'arrive pas à les conserver plus de six mois. Mais j'ai toujours le sentiment qu'il me manque quelque chose au poignet. C'est un problème que je dois régler.

Votre meilleur coup en carrière?

D'avoir mis en application la maxime: deux oreilles, deux yeux et une bouche. Car on écoute et observe deux fois plus qu'on parle. Je l'applique tout le temps. On n'est jamais compétent vraiment, mais observer nous nourrit.

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