L'ex-cadre de GE Capital Carlo Fargnoli a eu recours à des prête-noms pour refinancer des entreprises. Cet élément a été pris en compte par la juge pour entériner son congédiement.

L'utilisation de prête-noms n'est pas illégale, mais M. Fargnoli y a eu recours sans contrat écrit et sans en aviser clairement ses patrons, ce qui contrevient aux règles de l'organisation, constate la juge Andrée St-Georges.

Le principal prête-nom, une firme détenue par un jeune étudiant, a touché 1,6 million pour ses services entre 2007 et 2009. L'étudiant a par la suite retiré cette somme en argent liquide par tranches de 20 000$ à 60 000$. Les honoraires versés à l'étudiant n'étaient pas documentés chez GE Capital.