Le gouvernement Couillard et l'Association des pharmaciens des établissements de santé (APES) ont conclu lundi une entente de principe sur leurs conditions de travail.

Comme La Presse le révélait le 10 mars, Québec s'apprêtait à réduire de 15% à 45% la rémunération de ces 1500 pharmaciens en abolissant des primes à compter du 31 mars. Des négociations ont eu lieu depuis, et un accord est finalement intervenu.

« La nouvelle entente respecte l'objectif d'attirer et de retenir des pharmaciens en établissement de santé », a commenté par voie de communiqué le président de l'APES, François Paradis. Une assemblée générale se tiendra le 29 mars en vue d'entériner l'entente. D'ici là, l'Association se refuse à tout commentaire sur le contenu de l'accord.