L'onde de choc causée par l'enlèvement d'un bébé à l'unité du Centre Parents-Enfant, la semaine dernière, au Centre hospitalier régional de Trois-Rivières (CHRTR), continue d'ébranler usagers et employés.

«L'histoire de Valérie [Poulin] Collins a créé une psychose dans l'hôpital. C'est rendu fou. [On] m'a demandé de m'identifier deux fois, malgré ma carte, avant d'administrer un médicament», a donné en exemple une infirmière qui préfère garder l'anonymat. Elle rapporte que les patients qui ont entendu parler de l'histoire demanderaient aux infirmières de s'identifier avant chaque soin administré.

Le Comité de gestion des risques du CHRTR analyse toujours les événements de la semaine dernière et fera des recommandations en matière de sécurité.

D'ici là, pour assurer la quiétude au Centre Parents-Enfant, un agent de sécurité surveille les allées et venues dans l'unité.