C'est un grand rendez-vous pour le Parti québécois. Plus de 1700 délégués se réunissent à compter de ce vendredi à Montréal en congrès national, le premier depuis 2005.

Pendant toute la fin de semaine, les militants débattront du programme que le parti défendra lors de la prochaine campagne électorale.

Une proposition visant à rendre obligatoire le cégep en français pour les allophones et les francophones sera discutée, de même que les façons d'agir en gouvernement souverainiste.

Enfin, surtout, Pauline Marois se soumettra à un vote de confiance.

En 2005, Bernard Landry avait démissionné après avoir obtenu 76%.

Mme Marois espère mieux, soit plus de 80%.