Faut-il rémunérer les élèves qui obtiennent leur diplôme d'étude secondaires? Obliger les entreprises à offrir des mesures de conciliation travail-famille? Rapatrier tous les points d'impôt dépensés au Québec par le fédéral dans le secteur de l'éducation? Faut-il réclamer la gestion de l'assurance emploi? Favoriser la hausse des taxes à la consommation plutôt que de l'impôt sur le revenu?

Ce sont quelques-unes des questions que se poseront les membres du Parti québécois qui participeront à un colloque sur la création de la richesse à Lévis, à la mi-mars.

 

«C'est un virage important pour le Parti québécois, qui correspond aux désirs de la population», estime la chef du PQ, Pauline Marois.

Le parti ne renie pas ses racines sociales-démocrates. «Nous demeurons des progressistes», dit Mme Marois. Ces discussions alimenteront le prochain programme du PQ.