Les villes qui ont testé les radars photo sur leur réseau routier n'auraient pas fait de profits si elles avaient dû payer tous les frais qui y sont associés.

«Le projet pilote a démontré que c'était difficile pour les municipalités de rentabiliser l'ensemble du système. Probablement que ça va nécessiter un soutien financier pour le futur», a expliqué mardi Gervais Corbin, expert en sécurité routière au MTQ, alors qu'il dressait un bilan et donnait les perspectives de l'utilisation des radars photo au Québec.

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