Le passage à l'heure avancée, prévu dans la nuit de samedi à dimanche, perturbera la plupart des Québécois, révèle un sondage Léger.

À la suite du changement d'heure printanier, plus d'un Québécois sur cinq constate une baisse de son niveau d'énergie, tandis que 13 % de la population se juge plus irritable.

Quelque 35 % des répondants disent également éprouver une plus grande difficulté à se tirer hors du lit.

Après le 12 mars, 58 % des Québécois requerront d'une journée à une semaine entière pour s'adapter au dérèglement de l'horloge. Chez les membres des familles, cette proportion grimpera à 72 %.

Plus de la moitié des parents profiteraient d'ailleurs de cette heure perdue pour rattraper du sommeil.

Le sondage, dévoilé lundi, a été mené en ligne pour le compte de la Boulangerie Canada Bread du 6 au 10 février 2017, auprès d'un échantillon de 1000 adultes. La marge d'erreur est de plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20.