Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, craint que des patients en oncologie de sa province aient reçu des traitements de chimiothérapie à dose insuffisante.

Cependant, il n'a pas encore réclamé des hôpitaux néo-brunswickois qu'ils procèdent eux-mêmes à la préparation des doses requises par les malades.

À La Presse Canadienne, le premier ministre Alward s'est justifié en expliquant que cette décision relevait des autorités de la santé publique. Un hôpital touché a d'ailleurs déjà pris des mesures.

David Alward a rencontré ce lundi son homologue de l'Ontario, Kathleen Wynne, à Toronto. Il a qualifié d'inacceptables les ennuis relevés avec les doses de traitements de chimiothérapie.

Vendredi, on a appris que le nombre de patients atteints du cancer qui ont reçu des traitements de chimiothérapie à dose réduite dépassait les 1200.