La hausse de 17 % des agressions sexuelles rapportées à Montréal l'an dernier pourrait être le fruit d'une propension accrue à dénoncer les agressions encouragée par le mouvement #AgressionNonDénoncées, l'affaire Ghomeshi et même les allégations de harcèlement sexuel visant Marcel Aubut, croit le SPVM.

« On pense que ça peut avoir encouragé des gens à briser le silence », a expliqué Claude Bussière, directeur adjoint à la direction des services corporatifs du SPVM.

Ce dernier rapporte qu'il y a environ 10 ans, la dénonciation très médiatisée de la chanteuse Nathalie Simard avait eu un tel impact sur les chiffres du SPVM.