Les membres de la congrégation des clercs de Saint-Viateur visés par un recours collectif pour des agressions sexuelles commises sur des enfants entre 1940 et 1982 peuvent être publiquement identifiés.

La Cour supérieure de Montréal a rejeté, hier, la demande de confidentialité de la congrégation religieuse.

Selon le tribunal, la congrégation religieuse n'a pas pu étayer sa demande avec des témoignages des agresseurs présumés expliquant en quoi leur vie privée ou leur réputation serait ternie par la diffusion de leur nom. Ainsi, 27 pères sont maintenant cités dans le recours collectif.

Certains sont morts, mais d'autres sont toujours vivants. Plus d'une centaine d'anciens élèves pourraient se joindre au recours.