Actualités Les grands titres

« Oui, c’est une mission de l’État » Valérie Plante rabroue Geneviève Guilbault sur le transport collectif

Le transport collectif est une mission de l’État québécois, et ce « pour des raisons évidentes », a rétorqué jeudi la mairesse de Montréal, Valérie Plante, à la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault. Celle-ci devrait d’ailleurs « venir dans le métro le matin », suggère l’élue municipale.

Commissaire au développement durable Le territoire agricole à risque, prévient un rapport

(Québec) La pérennité du territoire agricole du Québec est mise à risque en raison de la perte de superficie cultivée, de la diminution de meilleures terres au profit des terres à potentiel moindre, à l’établissement de la relève agricole, mais aussi au développement lié à la transition énergétique et à la crise du logement, prévient la commissaire au développement durable.

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Profilage racial Le juge n’a pas cru la version des policiers

Deux décisions des tribunaux, l’une concernant la police de Montréal, l’autre, la police de Laval, montrent que le profilage racial est encore un problème pour les deux corps policiers. Afin de prévenir les abus, la police de Laval a désormais l’obligation de collecter des données sur l’appartenance raciale des citoyens lors des interceptions policières.

Le REM « cannibalise » les revenus du transport collectif

Il n’est pas encore achevé, mais déjà, le Réseau express métropolitain (REM) gruge les revenus des autres modes de transport, forçant les transporteurs à réduire leur offre de service. Sur la scène municipale, on constate qu’il faudra « mettre de l’ordre » dans le partage des responsabilités.

Ressource de la DPJ Son éducateur la « force à l’aimer »

En 2021, une fillette de 12 ans a été agressée sexuellement par un éducateur dans une ressource qui avait un contrat avec la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. Et à cause de façons de faire dont un juge avait pourtant ordonné la révision depuis 2019, son dossier n’a pas fait l’objet d’une évaluation complète. La petite victime a été laissée sans soutien psychologique pendant près d’un an.