La chef de l'opposition officielle, Pauline Marois a confié avoir vécu avec tiraillements la campagne électorale municipale. «Cette élection a été crève-coeur dans plusieurs circonscriptions où nous avions des sympathisants souverainistes des deux côtés», reconnaît Mme Marois. Les troupes souverainistes ont été divisées, tant à Longueuil qu'à Montréal. Le mot d'ordre donné aux militants a été de choisir librement leurs clans, ce qui n'a pas permis de mettre la machine péquiste à profit.