Le gouvernement fédéral a accordé un délai de deux ans aux villes pour dépenser l'argent du plan de relance destiné à des projets d'infrastructures, et il n'a pas l'intention de faire exception pour Montréal. «Les règles sont les règles, et elles ne changeront pour personne», a rappelé Chris Day, porte-parole du ministre des Transports, John Baird. Un porte-parole de la ville de Montréal a pour sa part affirmé qu'il est trop tôt pour dire quel sera l'impact du scandale sur les transferts fédéraux.