Les citoyens qui souhaitent le rapatriement d'Omar Khadr ont un outil: une pétition d'Amnistie internationale.

«Rapatrier Khadr, c'est le minimum que le gouvernement peut faire», estime Béatrice Vaugrante, directrice de la section canadienne francophone de l'organisme.

Selon elle, si Amnistie internationale accumule entre 5000 et 10 000 signataires, cela enverra un signal important au Canada. Elle espère que les images du détenu modifieront le point de vue du gouvernement et sensibiliseront davantage la population. Des milliers de Canadiens ont déjà apposé leur signature au bas de la lettre disponible sur le site de l'organisme depuis plusieurs mois (www.amnistie.ca)